Le 1er mai en danger : une proposition de loi remet en cause un acquis social majeur.
Alors que le Sénat s’apprête à examiner un texte ouvrant la possibilité de faire travailler les salariés le 1er mai, les organisations syndicales alertent : cette remise en cause du seul jour férié obligatoirement chômé et payé marque une nouvelle atteinte au droit du travail et à l’histoire sociale.
Un communiqué intersyndical appelle à préserver la portée symbolique et juridique du 1er mai.